DEUX FEMMES POUR UN FANTÔME ET LE PUBLIC

Posted on 28 février 2019

Lors du précédent samedi du marché, une foule d’admirateurs, amassée à l’auditorium fut divertie. Elle se tenait là, assise sur des sièges, à admirer ébahie une formidable pièce de théâtre. ‘‘2 femmes pour un fantôme’’, se nommait la pièce. Elle fût écrite par René de Obaldia en 1971 et superbement mise en scène quelques jours auparavant. Ledit homme écrit souvent des pièces délicieusement macabres qui ont toutes pour but de nous amuser mais également de nous faire réfléchir sur ce qui nous arrivera forcément un jour… (SJ. EXTRAIT DU VENDREDI 1ER MARS 2019)

HISTORIQUE DU JOURNAL
Né le 1er septembre 1883 sous le nom du « Petit Alpin N°1 », puis prenant l’appellation de « Sisteron Journal » le 22 août 1885, cet hebdomadaire est considéré comme une véritable institution dans la cité de Paul Arène.
Depuis 140 ans, sa ligne éditoriale a pour objet de mettre en valeur les associations culturelles, sportives ou caritatives, les actions de la jeunesse, de développement local, etc. Il a pour vocation d’informer les administrés sur les démarches administratives, les décisions de la municipalité. Il peut publier des annonces légales, petites annonces et encarts publicitaires et autres chroniques. Plusieurs partenariats sont paraphés notamment avec la Municipalité et la Communauté de Commune. En noir et blanc depuis sa création, le Sisteron Journal voit désormais en couleur depuis le numéro 3666 du vendredi 3 mars 2017.
Le journal dispose d’environ 800 abonnés, en majeure partie résidents de la commune. Cependant, environ 150 exemplaires sont expédiés dans tout l’hexagone ou encore vers d’autres pays et continents (anciens sisteronais expatriés.)
Au final le Sisteron journal est édité à 1200 exemplaires et les ventes sont réalisés par la Maison de la Presse de Sisteron et ses partenaires : Tabac Le Calendal (Sisteron) ; Super U (Sisteron) ; U Express (Sisteron) ; Kiosque (Sisteron).
Depuis le mois de mai 2016, il est disponible en téléchargement PDF à tous les abonnés. Une liseuse gratuite, offerte par les Grands Partenaires du journal, est disponible sur le site Internet la semaine qui suit sa publication.